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Rapport du G.I.E.C.

(Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat )

Article de septembre 2018

Après le S.O.S. de 700 scientifiques, début septembre 2018, un rapport spécial de 400 pages a été publié, le lundi 8 octobre 2018, par le G.I.E.C. (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat ) après des discussions dures avec les représentants de 195 Pays, en Corée du sud. C’est le rapport de la dernière chance qui entretient une très petite chance de limiter, à la fin du siècle, le réchauffement de notre planète Terre à + 1,5°C par rapport à la période préindustrielle.
Or, la température de notre planète a déjà augmenté de + 1°C à cause de l’activité humaine, depuis l’ère préindustrielle et nous sommes, par manque de volonté, sur une courbe de réchauffement catastrophique de + 3°C minimum, à la fin du siècle. Le rapport montre d’ailleurs, que si nous n’arrivons pas à limiter la température à + 1,5°C mais à + 2°C, il voici quelques conséquences qui en résultent pour ce demi degré de différence :

‘‘Contenir le réchauffement exige des actions très ambitieuses dans tous les domaines ; énergie, industrie, gestion des terres, transports, bâtiments, urbanisme… ce qui signifie un changement radical de comportements et de modes de vie…’’ Valérie Masson-Delmotte, membre du GIEC.

GIEC 2018 : présentation par Valérie Masson-Delmotte le 18 oct 2018 (via site Espéranza 21)

Voir le doc PDF ICI

Climat : rapport du GIEC quelques enseignements attendus - AFP le 1er oct 2018

Lire ICI

Climat et effondrement - Bastamag le 16 oct 18

- Article Bastamag Seule une insurrection des sociétés civiles peut nous permettre d’éviter le pire

Capitalisme : victoire par chaos climatique - #DATAGUEULE 83

La question environnementale est un enjeu qui traverse toutes les couches de nos sociétés : Etat, entreprises et société civile. Logique puisque l'état de la planète est lié au système qui régi notre monde et dans lequel nous baignons toutes et tous : le capitalisme. Alors que les initiatives se multiplient du côté des citoyennes et des citoyens, et à quelques jours du lancement de la COP24, faisons un petit état des lieux de l'(in)action du secteur privé et de certains acteurs publics. Avec Alice Baillat, chercheuse l'Institut des Relations Internationales et Stratégiques (IRIS) : http://www.iris-france.org/chercheurs...


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