PRISE DE NOTES - JOURNÉE D'HIVER CAC - 9 FÉVRIER 2023


PAD pour la prise de notes : https://mensuel.framapad.org/p/journeehivercac9fev23-9z7l?lang=fr

TEXTE D’INTRO / PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE

Cette journée a vocation à faire un point de situation sur le contexte d’actions des associations citoyennes et de pointer notamment quelques évolutions en cours ou à venir qui pourraient être assez déterminantes.
Elle s’inscrit dans une nouvelle manière expérimentale de fonctionner pour le CAC avec des « journées de saison » (c’est la raison pour laquelle cette « journée d’hiver » commencera par une séquence « liens de continuité » avec notre « journée d’automne » tenue le 16 novembre).
Dans le prolongement direct de notre séminaire 2022 (en avril à Villarceaux), il s’agit de faire un collectif… plus collectif et d’intégrer dans nos travaux davantage d’acteurs d’horizons divers.

Nous avons conscience que le découpage de la journée n’est pas celui que idéalement nous aurions voulu : il est plus logique de parler d’abord de ce que nous avons à faire et ensuite de comment nous allons le faire. Là, en raison des (in)disponibilités des uns et des autres nous allons plutôt aborder la question des moyens le matin mais bien sûr nous essaierons d’aborder ça en fonction des questions de fond politique.
Donc qu’est-ce qui nous attend ? Avoir un éclairage collectif sur ce que nous réserve l’année 2023
et comment y faire face, avec quels moyens ? On va commencer par cette deuxième question car il y a là quelques sujets de préoccupations, des préoccupations d’ordre budgétaire qu’on voulait partager.

À propos de la timeline

un outil « inauguré » au moment du séminaire de Villarceaux
un outil que nous avons un peu de mal à faire vivre mais auquel nous croyons car il part de l’idée très simple qu’à combats communs doit correspondre naturellement agendas communs ou du moins une vision commune possible de nos agendas.
Donc on en est qu’au début de cet outil et comme le notait justement Matthieu de Ritimo à Villarceaux, cet outil n’aura un avenir que si on donne de la substance à la notion d’interopérabilité donc là on a encore un travail devant nous mais ce genre de journée y participe.

Là l’idée est simplement qu’on vous montre ce que ça donne, qu’on puisse faire un « arrêt sur image » rapide sur quelques dates qui pourraient être intéressantes et qu’on en profite chacun pour ajouter des dates qui ne seraient pas encore sur ce calendrier.



De la journée d’automne à la journée d’hiver : séquence « droits de suite »

La journée d’automne (dont les X pages de compte-rendu sont disponibles là dans notre « gare centrale ») nous ont permis d’aborder et d’échanger sur de nombreuses actualités. Où en sommes-nous ? Des pistes de travail ont été ouvertes à ce moment là, se sont-elles immédiatement refermées, ont-elles au contraire portés très rapidement leurs fruits ? Ont-elles pris des chemins inattendus, sont-elles empruntés ? Mises entre parenthèses en attendant des jours meilleurs etc ?

- la journée acteurs-chercheurs sur « émancipation et associationnisme » prévu avec le CNAM pour mars ou mai ?
Faire ou rendre accessible la note préparatoire de cette journée
- des nouvelles du fond pour la presse libre
- des nouvelles de la préparation de l’université d’été des mouvements sociaux




Continuer à travailler, oui mais comment avec quels moyens
Transition
Les problématiques budgétaires des associations citoyennes et là du CAC font partie d’un contexte qui ne va pas en s’arrangeant et qui est notamment caractérisé par un processus de marchandisation.
C’est ce processus de marchandisation que nous avons voulu interroger en profondeur via le premier rapport de l’OCMA
on va présenter les grandes lignes de ce rapport mais on a pas prévu de temps aujourd’hui pour rentrer dans le coeur de son contenu
en revanche ce rapport appelle déjà une suite (on l’avait conçu comme ça en 2 étapes : d’abord donner à comprendre le phénomène et ensuite se concentrer sur la manière dont on le contrecarre)
et l’idée de l’intervention de Marianne maintenant c’est de flécher la suite telle qu’elle peut s’envisager et permettre à chacun de voir éventuellement comment participer.