Association Familles Rurales de Vailly
Association Familles Rurales de Vailly
Nom et prénom
Françoise LEBRUN
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Oui
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La suppression des emplois aidés a fermé une possibilité aux jeunes et moins jeunes d'ailleurs de participer à la vie sociale de notre pays, en leur proposant de découvrir le monde du travail, le travail en équipe, dans nos associations, l'animation et l'encadrement de jeunes enfants et ados. Une possibilité pour eux d'acquérir des diplômes leur permettant ensuite de trouver un emploi. Jusqu'à la rentrée 2017-18, les associations pouvaient avec l'aide de l'Etat embaucher des personnes en recherche d'emploi et ainsi poursuivre leurs activités indispensables à la vie des communes, des petites communes en particulier.
La mise en place du SNU me paraît bien plus inefficace pour renforcer la cohésion sociale que la remise en place des emplois aidés pour les associations d'Education populaire.
Collectif Camps Colos
Collectif Camps Colos
Nom et prénom
Jean-Michel BOCQUET
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Oui
Vos remarques et contributions
Mes articles sur le sujets :
https://theconversation.com/debat-le-service-national-universel-un-echec-pedagogique-programme-115609
https://theconversation.com/debat-le-service-national-universel-une-colonie-de-vacances-sans-mixite-105362
https://theconversation.com/debat-engagez-vous-engagez-vous-quils-disaient-89994
Plus de nombreux éléments sur mon compte twitter : https://twitter.com/jm_bocquet
Vous dites : "Au sein du CNAJEP, les Fédérations « historiques » de l’Éducation Populaire ont décidé d’apporter leur contribution au SNU", ceci n'est pas vraiment exact, au sein du CNAJEP des fédérations se sont opposés, le débat n'a pas vraiment eu lieu, notamment en raison de désaccord. Le MRJC, les EEuDF, les SGDF (notamment) se sont toujours opposés.
Il faut ajouter que le Forum Français de Jeunesse aussi dénonce depuis plus d'un an ce SNU.
Il y a 6 mois, nous étions peu à lutter contre cette idée, aujourd'hui (les images aidant) beaucoup se rendent compte de l'absurdité de ce projet. Il est nécessaire aujourd'hui de (re)construire des politiques publiques permettant de faire-ensemble, de portée de l'attention au plus vulnérable, de penser une société apaisée et ouverte. Nous n'avons de cesse de rappeler que ce sont les riches, les puissants, les dominants qui s'extrait du commun, qui refuse de changer de mode de vie pour prendre soin des pauvres, des faibles, de la nature, de la planète. Nous avons esquisser des idées pour (re)construire une politique publique de l'enfance et de l'adolescence, il nous faut maintenant construire ensemble, débattre, accepter de changer de posture et permettre aux idées de la jeunesse d'émerger.